NOTES

mardi 22 octobre 2019

Les meules des Monts Tara (4)


Comment nourrir ce petit monde l'hiver venu?
The haystacks in Mounts Tara
How to feed everybody when winter comes?




















Comment ne pas penser aux meules de Claude Monet?


How not to think about the wheatstacks from Claude Monet 


Claude Monet, détail, Meules, Effet de neige, le matin - Huile sur toile, 1891/Wheatstacks, Snow Effect, Morning, 1891, Los Angeles, Getty Center, 2010



15 commentaires:

  1. Agriculture préservée, pourrait-on dire...
    On se croirait transporté dans le lointain passé de la France rurale.
    Les meules de la photo 3 semblent imposantes et contrastent avec les deux suivantes (des bébés meules en quelque sorte)
    Toutes ont une silhouette vaguement humaine, plus ou moins ébouriffée.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ces meules étaient effectivement imposantes mais du fait également qu'elles étaient en bordure de route. Je pense que celles de la dernière photo (de meules) sont de la même taille.

      Supprimer
  2. Coucou Thérèse.
    Tout comme pour Miss Yves les meules de foin sont pour nos campagnes du passé.
    Comme le faucheur, sa faux, son coffin!
    Là aussi il semble que la traction animale est fait son temps...
    Très bonne semaine, A +

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Aurais-tu par hasard des photos de nos meules d'antan sur lesquelles faire un billet?

      Supprimer
    2. Je n'ai hélas pas de tel photos...
      Dans mon enfance mous ne faisions pas de meules les foin étaient remisé dans les granges.
      Seul des "barges" (toutes petites meules) quand la pluie menaçait avant de pouvoir les renter...
      Tu pourrais faire des recherche dans les vielles cartes postales?

      Supprimer
    3. Oh merci Daniel. Non, non cela me suffit. Seulement un désir de partager nos souvenirs et de voir ce que les autres ont vu... Je n'ai malheureusement pas de photos des meules telles que je les ai connues à la maison qui sont heureusement ancrées dans ma tête.

      Supprimer
  3. I didn't know that places still piled hay in stacks like that. These are such great photos of rural life. When you mentioned Monet's painting I couldn't help thinking of Pierce Brosnan's line in "The Thomas Crown Affair" when he told the museum guard "I love my haystacks" referring to Monet's painting. I love that movie.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. I do remember now. I prefer this version to the one with Steve McQueen. Thanks Sharon for this excellent quote.

      Supprimer
  4. Haystacks like that were still being made when we moved to western North Carolina in 1975. I even participated in making a few -- it's not easy and there's an art to doing it correctly. All gone now, as far as I know.

    RépondreSupprimer
  5. Thanks for sharing.
    I only remember them as a kid in our backyard though they were a little bit different being like braided hay put together in a haystack shape like the ones of Monet.

    RépondreSupprimer
  6. L'agriculture n'est encore pas entièrement mécanisée. On pourrait souhaiter que les paysans aient plus de modernité quand même, pour que leur labeur soit moins difficile.
    Dans les Alpes, il y a encore des prés inaccessibles pour les machines et on fauche à bras.

    Tes photos sont pleines de charme et j'adore la première, presque un tableau elle aussi. Un tableau non pas à la Monet mais à la Thérèse. Merci et bises alpines.

    RépondreSupprimer
  7. ...et aux meules de mon enfance. J'avais 9 ans, j'étais en vacances dans le Morvan chez des amis de mon Pépé.
    Il y avait une ferme à côté et j'ai tout fait pendant deux mois, la récolte des pommes de terres, les foins et la moisson.
    C'était le temps des faucheuses, des endaineuses et on faisait les meules à la fourche.
    Les meules que tu nous montres ressemblent à des huttes.
    Merci pour ce beau partage.
    Bises

    RépondreSupprimer
  8. J'adore la photo de l'homme et sa vache !

    RépondreSupprimer
  9. Superbe reportage photographique d'une agriculture à échelle humaine, je veux dire par là pas trop motorisée, et où l'homme (ou la femme) a encore toute sa place.
    En regardant la photo du paysan qui marche avec sa faux sur l'épaule, j'imagine que si un des jeunes citadins d'aujourd'hui la voyait il penserait sans doute que l'objet accroché à la ceinture de l'homme est un couteau, alors qu'il s'agit de la pierre à aiguiser :-)

    RépondreSupprimer

Rechercher dans ce blog/Look for something through this blog

Qui suis-je/Who am I