Toulouse Saint-Simon, mai 2020
Crépitent
les graines
Gambillent
et rient les bourgeons
Valses
du printemps
Grow the buds on stems
Time for birdies and trumpets
Honey in the air
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And lingering still,
They shiver on the chill edge...
Afraid
to let go.
Que
voyons nous là
akène
du pissenlit
qui
ce désuni
fille
de la rousse
tu
sèmes jusqu'au bout du bout
que
le vent t'emporte
belle
échevelée
ce
voyage lumineux
ne
tient qu'à deux fils
Tout droit comme un i
un
robot palpeur d’odeurs
non
un cœur fané
And lingering still,
RépondreSupprimerThey shiver on the chill edge...
Afraid to let go.
Coucou Thérèse.
RépondreSupprimerMon imaginaire défaille ou s’emballe?
Belle photo en tout les cas!
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Que voyons nous là
akène du pissenlit
qui ce désuni
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Très bonne journée.
A +
Quelle photo ! Magnifique !
RépondreSupprimerBises
fille de la rousse
RépondreSupprimertu sème jusqu'au bout du bout
que le vent t'emporte
belle échevelée
RépondreSupprimerce voyage lumineux
ne tient qu'à deux fils
La photo est une histoire de lumière :-)
RépondreSupprimerJoliment attrapé, Thérèse !
Peux-tu corriger "tu sèmes" :-(
Belle photo, beaux haïkus ! Bravo !
RépondreSupprimerune photos aussi belle que les haïkus sont originaux
RépondreSupprimer:-)) J'ai trouvé la solution: si je ne passe pas le mardi, pas besoin de me creuser la tête pour écrire un haïku! :-)) J'adore cette photo qui montre la fragilité de la nature. Bises alpines Thérèse la poète.
RépondreSupprimerAhhh...spring!
RépondreSupprimerSuperbe !
RépondreSupprimerTres beau 🙂
RépondreSupprimerTa photo me fait sourire, elle a des airs de cheerleader ou de joueur de maracas
RépondreSupprimerMerci pour vos commentaires et vos envois. Le printemps est bien là.
RépondreSupprimerThanks for your kind words and commentaries. Spring is definitely here
Tout droit comme un i
RépondreSupprimerun robot palpeur d’odeurs
non un cœur fané