C'est vrai que notre planète a bien besoin qu'on prenne soin d'elle. Allez, ce soir, à 20h00, j'applaudis les soignants de la terre. En plus de tous les autres. ;-) Bises alpines... de loin.
Oui 20 heures est devenu un rituel, même en campagne dans les trous du cul comme me le dit une de mes amies qui vit dans un petit village, éloignée de ses voisins et pourtant le son de sa casserole retentit bien fort.
Ah oui ! Cette fleur va éjecter le garrot qui l'étouffe et se déployer comme un feu d'artifice ! Comment peut-elle tenir dans une si petite enveloppe comme les ailes de papillon dans la chrysalide ? Je n'arrête pas à croire que le temps ne soit pas suspendu et qu'il passe si vite. Nous avons changé notre mode de vie, il en restera quelque chose du moins je l'espère mais je n'en suis pas sûre. Bonne fi de journée et de semaine (déjà !) Thérèse
Je me suis toujours posé la question quand je vois la plante à ses débuts... Changeons, changeons, n'attendons pas. La prise de conscience n'est plus assez.
Yes everyone is fine over here and the three boys and families too in the States. Please take care Vicky. Neglect should be banished of our vocabulary starting now. I know you do good where you live.
la planète est bien abîmée déjà et on se demande comment elle peut encore tourner ! mais si tout le monde s'y met on peut laisser à nos enfants une terre propre et riche ! en attendant on se bat contre un truc qu'on ne voit pas qu'on ne connait pas et la bataille est difficile !
Mais c'est et ce sera difficile mais quand il suffit de s'y mettre dès aujourd'hui pour avoir des résultats. Semons la graine. Voilà déjà un certain temps que la planète lutte toute seule, elle mérite nos bras, nos idées, nos petits et grands gestes.
Coucou Thérèse. Voici un condiment que nous pouvons déguster sans modération surtout sans risque importuner ses voisins par ces temps où les contacts doivent être limités..lol Est qui plus est, pour les superstitieux chasser les sorcières! Passe une bonne journée, A +
Yum garlic! I think the earth is doing just fine these days. No complaints or worries here. Unlike the 1970s when it was hard to breath the polluted air. :-)
µBonjour Thérèse, je me souviens de cette photo de la péniche aux enfants de Willy Ronis (159) pour l'avoir vue en 2009 à la Monnaie de Paris. Je me souviens qu'elel était accompagnée comme la plupart des photos de l'expositions d'un commentaire de l'auteur qui avait des mots qui m'ont enchantésd et cela tombe bien que le lein que tu m'as donné donne les mots qui accompagnent cette photo et que je retranscrits ici (parfois les liens disparaissent)
"De toutes les photographies très proches de mon coeur, celle-ci, La péniche aux enfants, s'attribue le statut particulier de l'unicité. Il serait trop long de retracer, dans le cadre de ces notes, l'histoire de la planche-contact, dont elle est l'avant-dernière image. Cette histoire, j'en ai commencé la rédaction, encore que je ne sois pas sûr de pouvoir analyser ce que cette aventure a représenté pour moi ce jour-là et combien profondément elle m'a marqué*. Je dirai seulement que j'ai saisi cette scène, totalement inattendue, au moment-même où elle allait m'échapper ; que, non seulement son contenu, mais sa forme me comblent (le cadrage est intégral) ; enfin que je n'ai jamais autant tremblé lorsque le développement du film et son fixage étant terminés, j'ai scruté le négatif tout près du verre dépoli de la lanterne d'examen. C'est cette photographie-là qui fut mon propre révélateur, qui me remit soudain totalement en question, qui me fit comprendre du même coup - au-delà de mon travail ordinaire - le sens profond de ce que toujours je poursuis. C'est elle qui m'a plusieurs fois retenu quand j'étais sur le point de tout lâcher. 50 mm. Négatif sous-exposé, difficile à tirer. Plein format. Deux taches indélébiles survenues vers 1965 nécessitent une très bonne repique. C'est à partir d'un bon contretype qu'il conviendra de tirer à l'avenir." De Willy Ronis je me souvenais avoir retenu "Plein format." mais je ne me souvenais pas que c'était à propos de cette photo là
En 2018, alertée par le maman de Monsieur O et Little Jo, j'ai eu la chance de pouvoir aller voir la rétrospective consacrée à Willy Ronis dans le XXème Bonne fin d'avril, Thérèse, nous avons eu enfin de la pluie dans la nuit dernière, le jardin en est content.
Merci pour avoir mis les mots sur "La péniche aux enfants". Le "plein format" dure plus longtemps que les liens sur internet :-) Willy Ronis a donné un merveilleux titre à un de ses livres "Ce jour-là".
Amusante, cette coiffe parcheminée à bout pointu ! Quant à notre pauvre planète, elle a bien besoin de soins elle aussi, tant qu'il y aura des Bolsonaro sur terre elle ne pourra pas tourner rond. Si le corona pouvait nous débarrasser de tous les abrutis qui la maltraite, ce serait une bonne chose. Continuons à espérer, malgré tout. Bises et bonne journée de 1er Mai
A cause de ce virus ont n'a pas bien fêté Earth Day ici. De toutes façons avec Trump, il se moque de la terre et de l’environnement, l’eau, l’air, etc. J’espère bien qu’il ne sera pas ré-élu pour que notre planète puisse pousser un ouf !
C'est vrai que notre planète a bien besoin qu'on prenne soin d'elle. Allez, ce soir, à 20h00, j'applaudis les soignants de la terre. En plus de tous les autres. ;-) Bises alpines... de loin.
RépondreSupprimerOui 20 heures est devenu un rituel, même en campagne dans les trous du cul comme me le dit une de mes amies qui vit dans un petit village, éloignée de ses voisins et pourtant le son de sa casserole retentit bien fort.
SupprimerAh oui ! Cette fleur va éjecter le garrot qui l'étouffe et se déployer comme un feu d'artifice ! Comment peut-elle tenir dans une si petite enveloppe comme les ailes de papillon dans la chrysalide ? Je n'arrête pas à croire que le temps ne soit pas suspendu et qu'il passe si vite. Nous avons changé notre mode de vie, il en restera quelque chose du moins je l'espère mais je n'en suis pas sûre.
RépondreSupprimerBonne fi de journée et de semaine (déjà !) Thérèse
Je me suis toujours posé la question quand je vois la plante à ses débuts... Changeons, changeons, n'attendons pas. La prise de conscience n'est plus assez.
SupprimerYes, indeed. This pandemic is just a taste of what will come if we continue to neglect our Mother. Hoping you and yours are well, Therese.
RépondreSupprimerYes everyone is fine over here and the three boys and families too in the States. Please take care Vicky. Neglect should be banished of our vocabulary starting now. I know you do good where you live.
SupprimerGlad you all are doing well.
Supprimerla planète est bien abîmée déjà et on se demande comment elle peut encore tourner !
RépondreSupprimermais si tout le monde s'y met on peut laisser à nos enfants une terre propre et riche !
en attendant on se bat contre un truc qu'on ne voit pas qu'on ne connait pas et la
bataille est difficile !
Mais c'est et ce sera difficile mais quand il suffit de s'y mettre dès aujourd'hui pour avoir des résultats. Semons la graine. Voilà déjà un certain temps que la planète lutte toute seule, elle mérite nos bras, nos idées, nos petits et grands gestes.
SupprimerCoucou Thérèse.
RépondreSupprimerVoici un condiment que nous pouvons déguster sans modération surtout sans risque importuner ses voisins par ces temps où les contacts doivent être limités..lol
Est qui plus est, pour les superstitieux chasser les sorcières!
Passe une bonne journée, A +
Le tout en un. Faisons des réserves. Que demander de plus? En fait je n'ai jamais déterré les pieds pour voir ce qui était à la base...
SupprimerJolie macro 😉
RépondreSupprimerMerci. Un plaisir de se pencher sur ce qui pousse à l'état sauvage chez nous pour l'instant.
Supprimertout le monde travaille pour la terre depuis quelques temps :-)
RépondreSupprimerLes légumes printaniers pour notre plus grand bonheur.
SupprimerLe bibi d'une élégante pour un jour de fête :-) La nature est là pour nous nourrir et nous réjouir ♥♥
RépondreSupprimerMerci pour François Cheng, Thérèse !
Saisissons des yeux la nature qui s'offre à nous. Je viens de passer une demie-heure à regarder les p'tes fleurs des champs. Quel charme.
SupprimerI'm with you!
RépondreSupprimerSo happy to hear it, it's spring. Fresh ideas are needed.
SupprimerCela fait déjà un moment qu'elle ne tourne plus rond la Terre et on voit ce que ça donne.
RépondreSupprimerEspérons en des jours meilleurs !
Bises
Espérons et œuvrons.
SupprimerYum garlic! I think the earth is doing just fine these days. No complaints or worries here. Unlike the 1970s when it was hard to breath the polluted air. :-)
RépondreSupprimerI do like these positive words, that's what we need right now.
SupprimerµBonjour Thérèse, je me souviens de cette photo de la péniche aux enfants de Willy Ronis (159) pour l'avoir vue en 2009 à la Monnaie de Paris. Je me souviens qu'elel était accompagnée comme la plupart des photos de l'expositions d'un commentaire de l'auteur qui avait des mots qui m'ont enchantésd et cela tombe bien que le lein que tu m'as donné donne les mots qui accompagnent cette photo et que je retranscrits ici (parfois les liens disparaissent)
RépondreSupprimer"De toutes les photographies très proches de mon coeur, celle-ci, La péniche aux enfants, s'attribue le statut particulier de l'unicité. Il serait trop long de retracer, dans le cadre de ces notes, l'histoire de la planche-contact, dont elle est l'avant-dernière image. Cette histoire, j'en ai commencé la rédaction, encore que je ne sois pas sûr de pouvoir analyser ce que cette aventure a représenté pour moi ce jour-là et combien profondément elle m'a marqué*. Je dirai seulement que j'ai saisi cette scène, totalement inattendue, au moment-même où elle allait m'échapper ; que, non seulement son contenu, mais sa forme me comblent (le cadrage est intégral) ; enfin que je n'ai jamais autant tremblé lorsque le développement du film et son fixage étant terminés, j'ai scruté le négatif tout près du verre dépoli de la lanterne d'examen. C'est cette photographie-là qui fut mon propre révélateur, qui me remit soudain totalement en question, qui me fit comprendre du même coup - au-delà de mon travail ordinaire - le sens profond de ce que toujours je poursuis. C'est elle qui m'a plusieurs fois retenu quand j'étais sur le point de tout lâcher. 50 mm. Négatif sous-exposé, difficile à tirer. Plein format. Deux taches indélébiles survenues vers 1965 nécessitent une très bonne repique. C'est à partir d'un bon contretype qu'il conviendra de tirer à l'avenir."
De Willy Ronis je me souvenais avoir retenu "Plein format." mais je ne me souvenais pas que c'était à propos de cette photo là
En 2018, alertée par le maman de Monsieur O et Little Jo, j'ai eu la chance de pouvoir aller voir la rétrospective consacrée à Willy Ronis dans le XXème
SupprimerBonne fin d'avril, Thérèse, nous avons eu enfin de la pluie dans la nuit dernière, le jardin en est content.
Merci pour avoir mis les mots sur "La péniche aux enfants". Le "plein format" dure plus longtemps que les liens sur internet :-) Willy Ronis a donné un merveilleux titre à un de ses livres "Ce jour-là".
SupprimerDans les rues d'Avignon, sur les bordures, sur les trottoirs les fleurs se remettent à pousser !
RépondreSupprimerAmusante, cette coiffe parcheminée à bout pointu !
RépondreSupprimerQuant à notre pauvre planète, elle a bien besoin de soins elle aussi, tant qu'il y aura des Bolsonaro sur terre elle ne pourra pas tourner rond. Si le corona pouvait nous débarrasser de tous les abrutis qui la maltraite, ce serait une bonne chose. Continuons à espérer, malgré tout.
Bises et bonne journée de 1er Mai
A cause de ce virus ont n'a pas bien fêté Earth Day ici. De toutes façons avec Trump, il se moque de la terre et de l’environnement, l’eau, l’air, etc. J’espère bien qu’il ne sera pas ré-élu pour que notre planète puisse pousser un ouf !
RépondreSupprimerJe suis de retour et ferai un gros effort pour venir te rendre visite souvent ici. Et j'adore l'ail....
RépondreSupprimerMerci pour ton passage, Thérèse.
RépondreSupprimerBonne semaine et à bientôt pour un joli moment attrapé ?