Coucou Thérèse. Escapade... Si bien chanté par "Joan Baez"! " How many years can a mountain exist Before it's washed to the sea ? " Très bonne semaine, A +
L'eau enjolive tout. Nos petites-filles sont allées chez leur grand père paternel dans le Finistère, elles ont ramassé des coquillages bien sûr et ont profité de la plage qui n'est pas au bord de la Méditerranée. Auparavant nous avions passé une semaine avec elle en forêt de Brocéliande, un conteur grimé en Korrigan nous a parlé du langage des arbres et en même temps les feuilles bruissaient. Le vent sait utiliser tous les moyens pour se faire entendre ou voir
Ah j’ai oublié de te dire que ce matin dans le Parisien il y avait un entrefilet sur "changer l'eau des fleurs" (les journaux ont des rubriques différentes en été). Comme souvent l'intrigue a été spoliée, révélant le sort de Léonine Bonne fin de journée, Thérèse !
So evocative! It's been years since I've been to the beach and I really miss the sight and smell and sound of salt water. Your photos (almost) took me there.
Lorsque nous sommes allés à Sérignan au mois de mai, bien évidemment nous sommes allés sur la plage. Nous avons trouvé de beaux coquillages et quelques pierres intéressantes. Oui la mer nous parle et elle nous parle sur tous les tons, mais je préfère le clapotis aux remous bruyants.
Coucou Thérèse.
RépondreSupprimerEscapade...
Si bien chanté par "Joan Baez"!
"
How many years can a mountain exist
Before it's washed to the sea ?
"
Très bonne semaine, A +
En effet la réponse souffle dans le vent.
SupprimerFrissons des vaguelettes, perceptibles dans ta première photo.
RépondreSupprimer2, 3, 4: simple et beau.
"Frissons des vaguelettes": parfait descriptif.
SupprimerL'eau enjolive tout. Nos petites-filles sont allées chez leur grand père paternel dans le Finistère, elles ont ramassé des coquillages bien sûr et ont profité de la plage qui n'est pas au bord de la Méditerranée.
RépondreSupprimerAuparavant nous avions passé une semaine avec elle en forêt de Brocéliande, un conteur grimé en Korrigan nous a parlé du langage des arbres et en même temps les feuilles bruissaient. Le vent sait utiliser tous les moyens pour se faire entendre ou voir
Ah j’ai oublié de te dire que ce matin dans le Parisien il y avait un entrefilet sur "changer l'eau des fleurs" (les journaux ont des rubriques différentes en été). Comme souvent l'intrigue a été spoliée, révélant le sort de Léonine
SupprimerBonne fin de journée, Thérèse !
Oh zut de zut pour ne pas dire autre chose en français ou dans une autre langue...
SupprimerTout se complète: les histoires, les vécus...
SupprimerSo evocative! It's been years since I've been to the beach and I really miss the sight and smell and sound of salt water. Your photos (almost) took me there.
RépondreSupprimerTime to go Vicki.
SupprimerI couldn't agree more. I cherish my time walking on beaches.
RépondreSupprimerThere is no equivalent to walking on a beach.
SupprimerLorsque nous sommes allés à Sérignan au mois de mai, bien évidemment nous sommes allés sur la plage.
RépondreSupprimerNous avons trouvé de beaux coquillages et quelques pierres intéressantes.
Oui la mer nous parle et elle nous parle sur tous les tons, mais je préfère le clapotis aux remous bruyants.
laissons nous bercer ...
RépondreSupprimerEchappée belle !
RépondreSupprimerJ'habite pres de la plage mais Je ne vais jamais à la plage. Ouais, Je suis idiot ! ;-)
La Crête paradisiaque et lumineuse.
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